Grâce à cette collaboration spéciale entre le musée du Louvre et CASETiFY, les chefs-d’œuvre les plus célèbres du monde s’exposent aux côtés des dernières technologies.

Le musée du Louvre annonce un partenariat avec la marque internationale d’accessoires pour ordinateurs et appareils mobiles CASETiFY, une première dans le secteur des nouvelles technologies et pour les créateurs de collections capsules. Mettant à l’honneur des œuvres d’art parmi les plus célèbres de l’histoire tout en étant ancrée dans le 21e siècle, la collection Louvre x CASETiFY, disponible à partir du 23 février 2021, permettra à la nouvelle génération de tenir littéralement entre ses mains les chefs-d’œuvre exceptionnels du musée du Louvre. 

Inspirée par le rayonnement culturel extraordinaire du musée, cette collection d’accessoires technologiques se distingue par le style normcore emblématique de CASETiFY, rendant hommage à l’art classique. La collection Louvre x CASETiFY offre trois interprétations stylisées mettant en scène la Joconde, la Vénus de Milo, la Grande Odalisque et la Liberté guidant le peuple sur les coques Impact, issues de l’offre haut de gamme de la marque. Outre ces accessoires uniques conçus d’après les chefs-d’œuvre du Louvre, il est possible d’opter pour une coque personnalisable en lui donnant l’apparence d’un billet de musée. La collection inclut aussi la première gourde collaborative – un produit inédit de la marque CASETiFY – arborant des œuvres d’art imprimées sur de l’acier inoxydable. Le lancement en ligne mondial inclura une large palette de d’accessoires, notamment des étuis pour iPhone et AirPods, des supports de téléphone et des chargeurs sans fil, avec des prix allant de 20 à 72 $ . 

 « Comme beaucoup le savent, CASETiFY a été lancée en 2011 en tant que plateforme axée sur les artistes, recherchant des talents du monde entier pour créer des accessoires uniques destinés aux dernières technologies », a déclaré le PDG et co-fondateur de CASETiFY, Wes Ng. « Nous n’aurions donc pas pu rêver mieux que cette collaboration avec le Louvre, à la fois monument historique et maison permanente des plus grandes œuvres d’art que le monde ait jamais vu. Nous espérons que cette collaboration touchera une nouvelle génération et inspirera les futurs créateurs ».

La collection Louvre x CASETiFY rejoint la liste des marques partenaires exclusives du programme Co-Lab de CASETiFY. Les collaborations faisant partie de ce programme bénéficient d’un vaste appui, à la fois pour leurs activations en ligne et en magasin, notamment par le biais de lancements exclusifs, de pop-ups diffusées à l’échelle mondiale et de campagnes de co-promotion auprès de millions de personnes à travers le monde. 

Une liste d’attente mise en ligne le 11 février 2021 permet d’obtenir un accès prioritaire pour acquérir la collection le jour du lancement. À partir du 23 février 2021, l’ensemble de la collection sera disponible sur le site de CASETiFY (www.CASETiFY.com/louvre ; livraison dans 180 pays) et sur la boutique en ligne (boutique.louvre.fr) dédiée aux collaborations que le musée développe avec ses partenaires. Pour plus d’informations sur la collection, la marque CASETiFY, ses partenaires et ses produits, rendez-vous sur www.CASETiFY.com.

À propos des chefs-d’œuvre présents dans la collection 

Portrait de Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo, dite Monna Lisa, la Gioconda ou la Joconde, Léonard de Vinci
Le portrait fut probablement commencé à Florence vers 1503. Il s’agirait du portrait de Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo, marchand d’étoffes florentin, dont le nom féminisé lui valut le « surnom » de Gioconda, francisé en « Joconde ». La Joconde ne fut sans doute pas livrée à son commanditaire car il semble que Léonard ait continué à y travailler longtemps jusqu’à l’emporter avec lui en France. À sa mort, elle serait entrée dans la collection de François Ier.

Aphrodite, dite Vénus de Milo
Depuis sa découverte sur l’île de Mélos en 1820, cette effigie divine fascine par sa grâce et par le mystère qui entoure son interprétation. Faut-il y reconnaître Aphrodite, souvent figurée à demi nue, ou Amphitrite, déesse de la mer vénérée à Milo ? L’œuvre reflète les recherches des sculpteurs à la fin de l’époque hellénistique : pétrie de références classiques, elle innove par sa composition hélicoïdale, par l’insertion de la figure dans l’espace et le glissement du drapé sur les hanches.

Une odalisque, dite La Grande Odalisque, Jean-Auguste-Dominique Ingres
Ingres a transposé dans un Orient de rêve le thème du nu mythologique, dont la longue tradition remonte à la Renaissance. Le plus célèbre nu du maître est une commande de Caroline Murat, sœur de Napoléon Ier et reine de Naples. Ingres a peint ici un nu aux lignes allongées et sinueuses sans tenir compte de la vérité anatomique, mais les détails comme la texture des tissus sont rendus avec une grande précision. Cette œuvre a été violemment critiquée lors de son exposition au Salon de 1819.

Le 28 Juillet. La Liberté guidant le peuple (28 juillet 1830), Eugène Delacroix
L’insurrection populaire du 27, 28 et 29 juillet 1830 à Paris, ou Les Trois Glorieuses, suscitée par les républicains libéraux contre la violation de la Constitution par le gouvernement de la seconde Restauration, renverse Charles X, dernier roi bourbon de France, et met à sa place Louis Philippe, duc d’Orléans. Témoin de l’évènement, Delacroix y trouve un sujet moderne qu’il traduit méthodiquement en peinture mais avec la même ferveur romantique que pour la Guerre d’Indépendance grecque.